L’histoire de la technologie Lytefire a commencé au Canada, il y a vingt ans.
Mr Fraser Symington, ingénieur, bricolait ses premiers concentrateurs solaires dans sa cour.
Son but ?
Remplacer les feux de bois polluants par un feu direct, créé par le soleil.
Sa contrainte ?
Aboutir à une puissance égale à celle d’un feu grâce à une technique simple et la plus locale possible (oui, car rien n’est moins local que le photovoltaïque).
Les graines de changement sont semées et des années plus tard son petit-fils, Lorin, s’en va en Amérique du Sud
Il va y construire ce qu’on appelait encore un concentrateur solaire avec l’aide de son copain d’enfance, Eerik.
Aventuriers, courageux, déterminés, ils vont au-delà de la cuisson solaire et améliorent les machines pour que l’énergie créée permette aux utilisateurs de devenir carrément des entrepreneurs.
Le Soleil commençait à déverser son revenu universel.
Avec un groupe d’ami.es bien motivé.es, ils créent en 2012 en Finlande l’entreprise à fort impact Solar Fire Concentration. Ensemble, ils organisent des projets aux quatre coins du monde et forment des dizaines entrepreneurs à ce nouvel artisanat solaire.
L’un des membres de cette équipe, c’est Arnaud, ingénieur diplômé de PolyTech Nantes (celui que vous avez vu en haut de cette page).
Et plus Arnaud observe et analyse les données relevées chez les boulangers d’Afrique, plus il a envie de mieux comprendre la boulange et les besoins de ces entrepreneurs inspirants.
C’est ainsi qu’il passe son CAP de boulanger pour créer ensuite NeoLoco en Normandie avec cette technologie solaire qui s’appelle maintenant la Lytefire.
La suite ?
Des rendements de dingue même avec un soleil normand.
Une rentabilité au rendez-vous.
Une qualité de vie et de travail indéniable.
Libre. Au rythme du Soleil.
Il devient alors temps de répandre la bonne nouvelle, et de donner aux autres les moyens de leur émancipation.
Une équipe se monte à l’été 2020 pour lancer la Lytefire partout en France, elle rassemble les Normands Arnaud, Elise, Benoist et Loïc, Maxence le Lyonnais et Eva, en Finlande.